Récits érotiques

Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 12:38

Ma femme s’appelle Laurence. Elle a 34 ans, brune, les cheveux tombant sur les épaules, avec de grands yeux gris-vert, grande (1m74), des petits seins et de superbes jambes conduisant vers une croupe vertigineuse et cambrée, bref une belle paire de fesses tendues naturellement, comme une invitation agressive à les croquer.

Elle est très féminine et pour en dresser un tableau complet elle est ravissante. Elle a, peut-être comme toutes les femmes d’ailleurs, une double personnalité : un côté face très sage, très rangé, très bourgeoise bcbg dans sa vie quotidienne, s’occupant de sa maison et de ses enfants, et un côté pile dans l’intimité de la chambre, très salope, chienne en chaleur et gourmande de cul, s’occupant plutôt de bites et de couilles ! Ainsi, quand je la vois tranquillement assise sur le canapé de cuir carmin en train de feuilleter un magazine, je ne peux m’empêcher de penser que ce même visage angélique, concentré et absorbé par la lecture, était à d’autres moments transformé harmonieusement par le plaisir, les yeux dans le vague, la bouche ouverte, gourmande, gémissant sous l’assaut d’une queue bien dure ! Mais n’est-ce pas là toute la beauté de la femme ?
Bref nous nous aimons, aimons le sexe et nous racontons souvent pendant nos ébats nos fantasmes, même si nous ne les réalisons pas tous … L’un des plus courants, qui nous excitait tous les deux le plus, était de le faire à plusieurs, avec une autre femme ou, plus spécialement pour Laurence, avec un autre homme. Souvent, quand, nue, elle me chevauchait, empalée sur mon sexe, se démenant sur ce pal, le laissant à la fois la combler bien à fond, et remuant son ventre pour frotter son petit bouton contre le mien, ses mèches dansant dans son cou, ses seins se balançant au rythme de sa danse frénétique, je lui disais, tout en empoignant ses fesses à pleines mains :
— Hum.. ma chérie … tu aimes ?
— Oui …. j’aime …, roucoulait-elle
— Tu aimes la bite ?
— Oui, j’aime la bite …
— Tu aimes te faire enfiler … tu aimes sentir des centimètres de bite partout en toi …
— Oh oui …. c’est trop bon …. encore …, disait-elle en gémissant.
Puis, ma main remontant le long de son corps pour caresser sa nuque, tourner vers l’avant et effleurer ses lèvres :
— Je suis sûr que tu aimerais avoir des centimètres de bite en même temps dans la bouche …
À ces mots elle happait goulûment mon doigt et le suçait avec frénésie, redoublant d’excitation.
— Tu vois, tu aimes ça.. tu es une salope …
— Oui, je suis une salope …. j’adore me faire ramoner … hummm … j’adorerais me faire ramoner par deux queues …
— Dis-moi, ma salope adorée … tu penses à quoi là …? quelles images traversent ton esprit en ce moment …?
D’une voix gémissante, secouée par les ondes de plaisir qui l’inondait, elle avouait alors :
— Je vois des queues, plein de queues, de grosses queues dures autour de moi … plein de mecs qui me bourrent tous les trous et qui déchargent … hummm .. plein de sperme qui ruisselle sur moi … j’aime ça … je veux être une salope juste bonne à être enfilée … hummm
Dans un ultime râle, je jouissais également, lui envoyant de longues et chaudes giclées dans la chatte. Alors elle se laissait tomber sur mon torse et nous nous embrassions tendrement et amoureusement, oubliant toutes nos envolées jusqu’au prochain moment d’intimité. L’idée de passer du fantasme à la réalité me trottait donc dans la tête, mais je savais que Laurence, redevenue l’épouse modèle et sage une fois l’orgasme passé (jusqu’au suivant bien entendu), refuserait catégoriquement toute expérience de ce type. Il faudrait donc pour arriver à mes fins (et aux siennes également) user de créativité et profiter du bon moment.
Celui-ci arriva par un beau soir d’été. Nous étions seuls toute la semaine, les enfants étant en vacances pour quelques jours chez leurs grands parents. Laurence avait passé toute l’après-midi à se reposer au bord de la piscine, laissant la chaleur et l’éclat du soleil envelopper et dorer sa peau. Quand je rentrai de mon travail vers 19h, je la trouvai encore allongée sur un transat, assoupie et bercée par les derniers rayons. Je déposais un délicat baiser sur ses lèvres closes, laissant le revers de ma main dessiner légèrement les courbes de son corps.
— Oh, mon chéri … tu m’as réveillée … mais quelle heure est-il ?
— 7 heures … pourquoi ?
— Mince … Franck va arriver …
— Franck ?
— Oui, l’étudiant qui fait du modelage avec moi, il m’a téléphoné et il me ramène ma pièce …
En effet, Laurence faisait partie d’un groupe qui suivait des cours de modelage artistiques, et la cuisson de sa dernière pièce, une femme nue étendue aux chairs voluptueuses, venait d’être cuite et était donc disponible, et l’un des participants, Franck, lui proposait de lui rendre service en la lui rapportant. J’avais à peine digéré l’information qu’un grand jeune homme, pas mal fait de sa personne et au sourire enjôleur, vêtu d’un jean et d’une ample chemise de coton, apparaissait sur la terrasse avec la fameuse pièce en main.
— J’ai sonné … et comme personne ne répondait je suis passé par derrière.
Laurence le remercia et je le saluai en lui proposant un verre. Il posa la pièce sur la table de bois et je voyais ses yeux dériver sur le corps presque nu de ma femme, s’attardant sur ses hanches qui laissaient deviner des fesses aguichantes. Ma femme se leva pour chercher trois verres et une bouteille de muscat. Il suivit le déhanchement lascif de son cul tout en me parlant de ses études. Je l’invitais à s’asseoir au bord de la piscine pendant que Laurence nous servait. Je crus qu’il allait s’évanouir quand, pour remplir mon verre, elle se pencha, lui mettant sans faire exprès et sans penser à mal, pratiquement à un mètre de son visage, la vision de sa croupe rebondie et tendue. La bouteille de muscat se vidait tandis que le soleil déclinait à l’horizon ; l’alcool aidant, la conversation se fit imperceptiblement plus cordiale, plus amicale, voire par moments plus intime.
Nous étions donc tous plus ou moins assis sur la terrasse en bois bordant la piscine et le jardin ; à l’arrière de notre maison, des arbres nous masquent totalement d’éventuels regards indiscrets et les plus proches voisins se trouvent à près de 100 mètres. J’avais laissé tomber ma veste et Laurence n’était toujours vêtue que de son maillot de bain noir dont le bas était échancré et dont le tissu semblait comme collé entre ses cuisses, épousant si parfaitement le renflement se son sexe. Elle devenait d’ailleurs d’humeur enjouée, voire polissonne par instants, et questionnait sans relâche Franck sur sa vie privée, s’amusant de ses réponses quelquefois embarrassées.
Quand Franck s’éclipsa 5 minutes pour aller aux toilettes je lui murmurais à l’oreille « qu’est ce qui t’arrive ma chérie … je te reconnais plus … ». Elle me susurra « tu sais moi non plus … mais j’ai la pêche ce soir … » puis sur un ton plus confident « vivement ce soir qu’on soit seuls. car j’ai très très envie … »
« tu sais moi aussi … , lui dis-je, tout en glissant ma main entre ses cuisses, ma paume couvrant le renflement de sa chatte, … « et en plus ce soir au lit je suis sûr que tu imagineras que c’est la queue de Franck qui est en train de te ramoner … »
À ces mots, je sentis son ventre se contracter davantage et ses cuisses se serrer autour de mes doigts. Le tissu de son maillot était à nouveau mouillé … mais cette fois-ci ce n’était pas l’eau de la piscine …
— C’est vrai mon chéri .. cela m’excite déjà rien que d’y penser ….
Elle venait de finir sa phrase que Franck réapparut … un peu gêné et mal à l’aise par la vue de ma main emprisonnée entre les cuisses de ma femme ; je la retirai vivement. Ne sachant quel comportement adopter il bafouilla « euh … je crois que je vais vous laisser …il se fait tard … excusez-moi …. »
Sentant que le moment tant rêvé était peut arrivé de réaliser notre fantasme non avoué, je décidai en une fraction de seconde de franchir le pas, de transgresser la morale éventuelle, de sauter dans le gouffre de la luxure et du plaisir. Je pris mon courage et lui dis :
— Mais non … Franck … restez encore … au contraire … ne soyez pas gêné par la situation … nous, cela ne nous gêne absolument pas … d’ailleurs pour vous rassurer je vais le refaire …
Ma main s’immisça alors pour la seconde fois entre les jambes de Laurence. Elle les ouvrit amplement pour me faciliter l’accès et ferma les yeux en renversant sa tête vers l’arrière pendant que doucement je lui massais la chatte par dessus son maillot. Franck n’en perdit pas une miette, son regard semblant vissé à mon geste.
— Elle n’est pas belle, ma femme, ainsi ?
— Si .. si .. bien sûr … réussit-il à articuler
— Et excitante aussi … non ?
— Oui … oui … bien sûr …
Me penchant alors vers Laurence je lui dis « ma chérie … ton étudiant te trouve belle et en plus tu l’excites … je pense qu’il serait normal que tu lui en dévoiles un peu plus … ça te dérange pas …? « . En guise de réponse, elle serra ses jambes posées sur le sol pour me permettre d’enlever plus facilement le slip de son maillot, et tout de suite les rouvrit presque impudiquement pour continuer de s’abandonner à ma caresse. J’invitais Franck à s’approcher pour mieux voir. Il s’accroupit entre les jambes de mon épouse à environ 1 mètre de son ventre. Elle était maintenant à moitié couchée sur la terrasse, prenant appui sur ses deux coudes pour pouvoir nous observer. Moi j’étais donc agenouillé à ses côtés, la caressant d’une main, et notre étudiant se tenait en face. De temps en temps, je stoppais mon geste pour lisser et écarter ses lèvres intimes d’un doigt avant de revenir titiller son petit bouton rose en faisant des commentaires chauds sur son anatomie, pour décupler ses envies.
— T’as vu sa belle petite chatte comme elle s’ouvre … et elle est super mouillée … regarde comme mon doigt coulisse bien … écoute le bruit que ça fait quand il rentre et qu’il sort …
Ses yeux semblaient sortir de ses orbites devant le spectacle que nous lui offrions et une bosse impressionnante tendait son jean.
— Et en plus elle adore ça … là elle est chaude comme elle ne l’a encore jamais été … n’est pas ma chérie ?
— Oui … Philippe … j’ai envie de me faire baiser … je dégouline trop …
— Humm … tu veux de la queue … ?
— Oh oui … de la bonne grosse queue bien dure … Franck … tu veux pas me montrer la tienne … je te montre bien mon minou tout ouvert … t’as pas envie de baiser une belle salope …?
Et moi, regardant Franck « alors … t’as pas envie de lui en donner … ?  » Et Laurence répondant pour lui « oui … Franck, sors ta queue et viens me la fourrer … ». Franck semblait comme pétrifié, comme changé en statue de glaise … la glaise qu’il pétrissait chaque semaine à ses cours de modelage avec ma femme. Alors elle se redressa et se mit à genoux. Son visage était à la hauteur de la fermeture de son jean et d’une main experte elle fit sauter les boutons et plongea directement sa main dans le caleçon pour en sortir une queue bien entendu déjà bien dure et grosse. Immédiatement elle la saisit pour se l’enfourner dans la bouche et la sucer avec déchaînement. C’était la première fois que je voyais ma femme sucer une autre bite que la mienne, mais le spectacle de son visage comme aspiré par cette queue, de sa joue déformée par le gland quand elle l’embouchait, de ses lèvres que j’embrassais si souvent, même d’un simple baiser chaste, et qui là se fermaient sur une hampe bien dure et la faisait glisser du sommet aux couilles, m’excita comme jamais. En 30 secondes mes vêtements gisaient épars sur le sol et je dégrafais le haut de son maillot pour libérer ses seins. Puis mes mains se posèrent sur ses fesses, qu’elle tendit à mon approche, comme une invitation à une dégustation plus poussée, et, accroupi derrière elle je plongeais trois doigts dans sa chatte qui ruisselait comme un marécage tout en la regardant administrer une superbe fellation. Elle ondulait sa croupe comme une chienne, perdant toute notion du temps et de l’espace, se libérant de toute contrainte pour ne laisser cours qu’à ses envies de sexe. Pour la rendre folle, je lui disais :
— Alors chérie, est-ce que sa queue est bonne ? est-elle assez grosse pour une gourmande comme toi ?
et m’adressant à Franck :
— Elle te suce bien ? finalement tu ne dois pas regretter pas d’être resté … tu pensais, pendant vos cours de modelage, qu’un jour ma femme aurait ta bite dans la bouche ?
— Euh .. non, répondit-il entre deux râles, …elle semblait si réservée … je n’aurais jamais imaginé çà …
Je souris.
— Mais tu en avais envie … peut être même que tu fantasmais déjà sur elle ?
Franck ne répondit pas, mais Laurence, recrachant un instant son sexe, leva ses yeux coquins vers lui et renchérit :
— Oui … dis-nous, Franck … je te faisais bander pendant les cours ? peut-être que tu te branlais même le soir dans ton lit en imaginant tout ce que je te fais là …
Notre étudiant perdit alors sa timidité et enfin se lâcha : « humm .. oui, Laurence … tu m’excitais déjà … je rêvais de ton cul, de tes lèvres pulpeuses, de ton corps … je me demandais si tu étais une coincée ou une chaude … mais j’aurais jamais pensé que tu étais aussi salope et aussi bonne … humm … oui … bouffe ma grosse queue … on dirait que tu en raffoles, de la bite … alors pompe-la bien à fond …. hummm … ton mari a de la chance d’avoir une chienne comme toi qui aime s’enfiler des queues bien dures et en redemande …. ». Dans un ultime soubresaut il déchargea alors de longs jets chauds de sperme dans sa gorge. Ma femme l’avala jusqu’à la dernière goutte … puis, contente d’elle-même, elle se laissa choir sur la terrasse, couchée sur le dos, entièrement nue, les jambes totalement écartées, les bras en croix, semblant attendre la suite des évènements. Franck reprenait ses esprits … et moi aussi, mais Laurence n’avait pas encore joui. Alors sa main se posa sur sa chatte et elle se mit deux doigts dans la fente, commençant à se ramoner en nous implorant : « donnez-moi encore de la queue … ».
— Je vais te bourrer la chatte, ma chérie … en attendant que Franck retrouve la forme … , d’ailleurs si tu le branlais un peu je suis certain qu’il redeviendrait rapidement dur ! ajoutai-je en plaisantant.
Je me positionnais alors entre ses cuisses, lui levant les jambes pour l’ouvrir totalement et impudiquement, et j’appelai Franck, alors que je présentais mon gland à l’entrée de son antre humide : « Regarde bien comme ça va s’enfoncer et glisser sans problème tellement elle dégouline … elle n’a pas une belle fente ma femme …? remets-lui ta queue dans la bouche qu’elle te fasse rebander, comme ça tu pourras aussi la bourrer et lui décharger dans la moule ! » Il ne se fit plus prier, et s’installa à califourchon sur le visage de Laurence, lui mettant ses fesses sous les yeux et ses couilles sous la langue, se frottant contre ses joues, ses lèvres, son nez. Elle emprisonna aussitôt sa queue encore un peu molle dans sa main et se mit à la branler avec vigueur. Moi je la besognais, faisant rentrer puis complètement ressortir ma bite de sa chatte, la limant tout en la regardant branler la queue de Franck qui durcissait, et lui léchouiller les bourses velues. Quand il fut à point, je me retirai et ordonnai à ma femme de se mettre à quatre pattes.
Les derniers rayons de soleil illuminaient son corps ainsi offert. Elle était nue, soumise et heureuse, avançant comme une salope qui a envie de se faire sauter sur la terrasse en bois, cambrant au maximum sa croupe pour nous exciter davantage, secouant de temps en temps la tête pour faire retomber ses mèches de part et d’autre de son visage, faisant darder sa langue et humectant ses lèvres.
— Hum, ma chérie … tu es sublime … on dirait un fauve … une chienne en chaleur qui est sortie chasser la queue …
— Oui .. mon chéri … ce soir je suis une chasseuse de queues … et là j’en ai vu deux qui me font trop envie … que j’ai envie de me mettre ..
— Et tu les veux où ?
L’oeil mutin elle répondit :
— Celle de Frank, je la veux dans ma chatte … elle ne la connaît pas encore, et, en ondulant du cul :  » Viens, Franck, viens me ramoner … tu vas voir, j’ai la fente brûlante et inondée … viens me bourrer un bon coup …, puis s’adressant à moi, … et la tienne tu me la fous dans la bouche … je vais la sucer … comme ça tu seras près de moi quand je jouirai et tu pourras lire dans mon regard le plaisir que prend ta salope de femme de se faire ramoner par la queue d’un autre mec devant toi …
Franck n’attendit pas qu’elle eût fini sa phrase pour se positionner derrière elle, la saisir aux hanches et s’enfoncer par derrière dans sa fente, après avoir bien sûr revêtu un préservatif. Le voyant faire, je saisis Laurence par les cheveux et lui fourrai ma queue prête à exploser, tellement j’étais excité, dans sa bouche vorace. Il la pilonnait avec force. À chaque assaut de sa part, Laurence était un peu projetée vers l’avant et mon gland butait contre le fond de sa gorge ; quand elle sentit le plaisir arriver, elle redoubla de frénésie sur ma queue et me regarda intensément. Je pus alors lire dans ses yeux les ondes de jouissance qui submergeaient son corps. Franck éjacula dans la foulée, puis moi, et alors que je déchargeais dans la bouche de ma femme je lui dis tendrement « Je t’adore ma chérie … c’est trop bon de voir sa femme se faire mettre … je n’ai jamais joui aussi fort … »

Par Candauliste - Publié dans : Récits érotiques - Communauté : Couples candaulistes
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Lundi 3 septembre 1 03 /09 /Sep 12:20

 Marion, ma femme, et moi nous nous entendons très bien sur tous les plans. Marion ne travaille pas, mon job assurant des revenus largement suffisants. Nous avons des rapports sexuels qui me conviennent parfaitement. Marion ne me refuse rien et elle pratique toujours la fellation, parfois la sodomie. Je pense que de son côté, elle est satisfaite aussi. Du moins, elle ne s’est jamais plainte.

Dans quinze jours, c’est son anniversaire. 30 ans ! Je n’avais aucune idée du cadeau que je pourrais lui offrir. J’essayai discrètement d’amener la conversation sur certains sujets pour vérifier si les quelques idées que j’avais en tête ne seraient pas un flop complet. En souriant, elle me dit :
— Toi, tu cherches à savoir ce qui me ferait plaisir pour mon anniversaire ! Je te vois venir avec tes gros sabots !

Penaud, j’avouais que je n’avais pas d’idée, et lui demandais franchement de me donner quelques pistes. Elle répondit :

— Tu sais, un cadeau d’anniversaire, ça n’est pas forcement quelque chose de matériel !
— Ah bon ? Et tu as une idée de quelque chose d’immatériel ?
— Eh bien, ça serait ton anniversaire, je pourrais m’offrir à toi et tous tes fantasmes pour une journée… mais c’est MON anniversaire…
— Tu veux que je m’offre à toi ? Tu es sûre que ce serait un cadeau ? répliquai-je en riant.
— Pourquoi pas ? Ou bien, tu pourrais me donner la liberté de faire tout ce que je veux pendant cette journée d’anniversaire.
— Tout ce que tu veux ? C’est à dire ?
— Eh bien, réaliser un de mes fantasmes, par exemple….
— Hum… Tu as des fantasmes toi ?
— Comme tout le monde… Même si on n’en a jamais parlé.
— Et je peux savoir quel fantasme tu comptes réaliser ?
— J’en ai plusieurs. Je peux te donner ma réponse demain ? Le temps d’y réfléchir…
— OK.

J’avoue que cela m’arrangeait bien. L’idée de cadeau semblait toute trouvée, une rose rouge et un dîner romantique feraient le reste. Retenu à l’extérieur, je ne rentrai pas le midi, et retrouvai ma petite femme le soir.

— Bon, je me suis décidée… dit-elle.
— Je t’écoute.
— Avant, je dois te dire que c’est toi que j’aime, et que ce fantasme n’y changera rien.

Ce préambule commençait à m’inquiéter. Je la laissais continuer.

— Voilà… Je voudrais faire l’amour avec un autre… devant toi.
— Ça me fait mal, ce que tu me dis là.
— Comprends-moi, c’est juste une envie sexuelle. Je n’ai jamais vécu cette situation et j’y pense souvent. Mais, je comprendrais très bien que tu refuses…
— Je ne sais quoi te dire… Je ne m’attendais pas à ça.
— Si tu veux, oublie ce que je viens de te dire, et passons à autre chose.
— Écoute, laisse-moi y réfléchir un moment, d’accord ?
— D’accord !

Je me dis que si elle avait envie d’un autre, un jour ou l’autre, elle passerait à l’acte, alors peut-être valait-il mieux finalement que je sois là. Il y aurait moins « tromperie » en ma présence.

— Si c’est ce que tu veux, je suis d’accord, mais peux-tu me préciser un peu comment tu vois les choses ? As-tu déjà trouvé quelqu’un ?
— Non, je n’ai personne. Je voudrais que tu t’occupes de tout, que ça soit une vraie surprise, autant pour le type que pour le déroulement de la journée.

Elle me demandait de choisir moi-même le type qui allait la baiser sous mes yeux !

— Et as-tu prévu que je participe, ou bien devrais-je être un simple spectateur de tes turpitudes ?
— Honnêtement, ça me fait plus mouiller de savoir que tu as interdiction de participer, mais on ne sait jamais comment les choses peuvent évoluer… Je ne t’ai pas dit : j’aimerais qu’il soit assez directif…

Au moins, les choses étaient claires.

— Hum, dans l’hypothèse où j’en viendrais à participer, tu es prête à aller jusqu’où ? Tu comprends, je dois tout savoir pour éviter de te gâcher ton anniversaire.

J’avais énoncé cela sur un ton ironique, mais elle ne parut même pas s’en apercevoir.

— Je ne veux rien faire de trop osé… Pas de double pénétration, si c’est ce que tu veux savoir. Je veux bien à l’extrême limite me faire prendre tout en faisant une pipe, mais pas plus. Mais je te redis que je trouve bien plus excitant que tu ne participes pas.

Je ne lui demandai pas qui serait le bénéficiaire de la pipe et qui aurait la joie de la baiser. J’avais reçu le message cinq sur cinq. Elle voulait se faire baiser par un autre, et pour éviter toute complication, elle voulait que je sois là. Je lui demandai si elle ne serait pas plus à l’aise si je n’étais pas là ?

— Ah non, ça serait te tromper !

Parce que si je suis là, c’est pas me tromper ? Décidément, je ne comprenais rien à la logique féminine…

— C’est d’accord, je m’occupe de tout. Mais vraiment de tout. Et je ferai mon possible pour ne pas me mêler à vos ébats.
— Merci mon amour, tu es un ange, me dit-elle en se jetant à mon cou.

Trouver un homme ne fut pas bien difficile. Je le trouvais sur le net, me faisant passer pour ma femme. Je le choisis correct et d’une hygiène irréprochable, me dit-il ! Et le matin de son anniversaire, j’annonçai à Marion :

— Tout est prêt pour le grand soir. Ton partenaire va arriver en fin de soirée. Il a eu des photos de toi assez dénudées, et il bave d’impatience. J’ai commandé un repas chez le traiteur, et je serai ton majordome pour la soirée. Je vous servirai l’apéritif, le champagne est au frais, et le repas. J’ai préparé la chambre d’ami. Tu laisseras la porte entrouverte que je puisse voir… puisque je n’ai que ce droit…. Au fait, « il » a des exigences pour ta tenue. Voilà la liste. Il s’appelle Marc, pour info.

Elle m’arracha la liste des mains, puis se dirigea vers la salle de bain.

Nous étions samedi, et je ne travaillais pas. Elle sortit de la salle de bain et vint m’embrasser à pleine bouche. Puis elle descendit vers mon sexe et le prit dans sa bouche. Elle me gratifia d’une pipe somptueuse, et quand elle sentit que j’étais sur le point d’exploser, elle se mit à quatre pattes et me supplia de venir la baiser. Je me ruai sur elle et la pilonnai avec force. Elle jouit bruyamment alors que j’éjaculai dans sa chatte.

— J’ai regardé la liste… J’ai tout ce qu’il faut, m’annonça-t-elle. J’ai le temps de me préparer pour ce soir.

La journée se passa comme d’habitude. Vers seize heures, elle alla s’enfermer dans la salle de bain, et je l’entendis se faire couler un bain. Puis, elle alla dans notre chambre et en ferma soigneusement la porte.

Elle en sortit un long moment après. Bien que connaissant les exigences du type, j’en eus le souffle coupé. Elle portait une guêpière rouge avec des jarretelles noires qui maintenaient des bas noirs à couture. Un string minimaliste couvrait à peine son sexe entièrement épilé. Elle portait également un soutien-gorge qui laissait voir ses aréoles et ses tétons qui pointaient. Un chemisier entièrement transparent et complètement ouvert ne cachait rien. Aux pieds, elle avait des escarpins noirs avec de très hauts talons, qui accentuaient sa cambrure naturelle. Sa poitrine se projetait en avant comme si elle voulait défier le monde.

Elle avait accentué son maquillage, d’une façon presque outrancière, mais sans être vulgaire. Elle avait déjà porté cette tenue, mais alors c’était pour moi. De savoir que ce soir c’était pour un autre me fit ressentir un accès de jalousie.

— N’oublie pas que c’est toi que j’aime, me dit-elle en me regardant droit dans les yeux. Après ce soir, je redeviendrai ta petite femme fidèle, et il n’y aura pas d’autre fois. Je te le promets.

La sonnette retentit, et elle me regarda, angoissée.

— Ne t’inquiète pas, c’est seulement le traiteur !

J’allais ouvrir tandis qu’elle se cachait dans la chambre. Je dressai la table, et préparai les verres et les amuse-gueule dans le salon. La sonnette retentit de nouveau. Cette fois, c’était lui. Elle alla s’asseoir sur le canapé, tandis que j’allai ouvrir.

— Bonjour Monsieur, dis-je d’un ton très professionnel. Qui dois-je annoncer ?
— Marc…
— Si Monsieur veut bien se donner la peine d’entrer… Madame vous attend avec impatience.

Marc me suivit jusque dans le salon. Il écarquilla les yeux en voyant Marion.

— Tu es très belle…
— Merci, répondit-elle.
— C’est qui, ce type ? demanda Marc en me désignant de son menton.
— Ce n’est que mon majordome… Ne fais pas attention à lui. Fais comme moi, je ne pense même pas qu’il est là.

Une vague de jalousie me submergea, d’autant que Marion embrassait Marc à pleine bouche. Celui-ci avait les mains sur les seins de Marion et les caressait doucement.

— Hum, dois-je servir l’apéritif, Madame ?
— Eh bien oui, Germain. Ce n’est pas encore fait ?

Germain ! Ravalant ma fierté, je me rendis à la cuisine. Revenant avec la bouteille de champagne, je vis que Marion avait écarté ses cuisses et que Marc lui massait délicatement le clitoris. Marion, la tête en arrière, gémissait doucement. Évidemment, je voyais cela du coin de l’œil, m’appliquant à remplir les deux flûtes sans trop trembler. Une fois le champagne servi, je m’éclipsai mais restai dans le couloir pour observer.

Marc dit tout bas quelque chose à Marion et celle-ci sortit la queue de Marc et commença de le sucer. Au bout d’un moment, je la vis sursauter et Marc poussa un soupir de satisfaction. Je compris qu’il venait de lui éjaculer au fond de la gorge. Je m’attendais à la voir recracher le sperme, comme elle le fait avec moi, mais Marc lui tendit sa flûte et elle en prit une gorgée, avalant en même temps le champagne et le foutre. J’étais vert de jalousie. Elle s’était toujours refusée à avaler mon sperme, et elle le faisait avec le premier type venu.

Marc rectifia sa position et Marion cria :

— Germain ?
— Oui Madame ? dis-je en arrivant dans le salon.
— Vous pouvez servir le repas.
— Bien, Madame.

Ils se dirigèrent vers la salle à manger. Je servis le repas, apportant les plats et desservant comme un professionnel. Marion et Marc discutaient sexe, mais se taisaient dès mon arrivée. Puis Marion me demanda de servir le café au salon.

Ils vinrent s’assoir dans le canapé, Marc entreprit de pincer les tétons de Marion et de les faire rouler sous ses doigts. Quand j’arrivai avec le café, il cessa.

— Quand vous aurez fait la vaisselle, Germain, vous pourrez disposer, me dit Marion.

Je n’en croyais pas mes oreilles. Elle me foutait dehors, alors qu’elle m’avait promis que je pourrais rester pour regarder. Devant mon air abasourdi, elle dit :

— Vous voyez bien que nous allons faire des choses qui ne nécessitent pas votre service, me dit-elle d’un ton cassant.
— Bien Madame, répondis-je.

Je me dirigeai vers la cuisine pour faire la vaisselle. Une fois celle-ci expédiée, je me rendis de nouveau dans le salon. Marc, entre les genoux de Marion, lui léchait la chatte. La tête de Marion roulait de gauche à droite. Ses mains étaient crispées sur la tête de Marc.

— Oh oui, c’est bon, continue, on ne m’a jamais fait ça, gémissait-elle.

Mon ego en prenait un sacré coup, car je lui avais souvent fait la même chose, et il me semblait qu’elle en avait tiré du plaisir.

— Caresse-toi les seins, ordonna Marc à Marion.

Elle lâcha sa tête pour se caresser la poitrine. Elle dégrafa prestement son soutien-gorge et se pinça doucement les mamelons. Un orgasme puissant la submergea.

Je toussai légèrement pour annoncer mon arrivée.

— Tu es un amant extraordinaire, dit Marion à Marc. Personne ne m’avait fait jouir aussi fort et aussi bien ajouta-t-elle en me regardant dans les yeux. J’attends la suite avec impatience… Viens, allons dans la chambre.
— Vous pouvez disposer Germain. Mais comme j’aurai besoin de vous demain matin, allez donc dormir dans votre chambre.

Ouf… Je comprenais mieux. Elle se dirigea vers la chambre d’ami et je fis mine d’aller dans la chambre conjugale. Puis, à pas de loup, je revins dans le couloir. J’y avais judicieusement placé un miroir au mur, qui me donnait une vue totale du lit sans pour autant qu’on puisse me voir. Elle avait laissé la porte grande ouverte.

— Viens me baiser, dit-elle à Marc d’une voix rauque.

Elle se mit à quatre pattes sur le lit. Elle regardait fixement l’entrée de la chambre, sachant pertinemment qu’alors je la voyais de face, comme si nous étions les yeux dans les yeux.

— Viens me baiser fort. Il y a si longtemps qu’on ne m’a pas baisée correctement !

Là, elle y allait fort ! Marc se déshabilla rapidement et une énième vague de jalousie m’envahit à la vue de sa queue. Je n’avais pas bien vu tout à l’heure, mais elle était bien plus épaisse et bien plus longue que la mienne. Marc vint se faire téter entre les lèvres de Marion, et sa bite augmenta encore de volume !

Puis, s’approchant par-derrière, il embrocha Marion d’une poussée ininterrompue et puissante qui arracha un râle de satisfaction à Marion.

— Oh que je la sens bien ! C’est la plus grosse que j’ai jamais eue. C’est autre chose que toutes les petites bites que j’ai eues. Mets-la-moi à fond, ne te retiens pas. Baise-moi comme une chienne ! Fais-moi jouir fort !

Elle haletait sous les coups de boutoir de Marc. Celui-ci sortait parfois complètement de sa chatte pour s’y réintroduire ensuite à fond. Marion feulait sous les coups de bite. Marc se pencha sur elle et lui saisit les seins à pleines mains. Malgré ma jalousie, je sentais que je commençai à bander. Marion était belle, s’appliquant à donner du plaisir au mâle qui la couvrait comme une chienne. Marc lui éjacula son foutre au fond de la chatte Ils s’allongèrent alors sur le lit pour prendre un peu de repos. Ils étaient haletants de l’effort fourni. Il me sembla qu’ils s’endormirent.

Je regagnais ma chambre en silence. Sur mon lit, je commençai à me branler, me repassant dans la tête les images que je venais de voir. Ma porte s’ouvrit soudain et Marion apparut. Me voyant la bite à la main, dressée comme un mât, elle me dit :

— Dis donc, ça te fait de l’effet de voir ta petite femme se faire sauter !
— Oui, avouai-je. C’était très excitant.

Elle s’approcha de moi et vint s’empaler sur ma queue dressée, me tournant le dos. Je vis du sperme s’écouler de sa chatte, glissant le long de ma bite.

— Ça te fait quoi de me baiser alors que je suis pleine du foutre de Marc ? demanda-t-elle.

Je n’eus pas le temps de répondre, terrassé par un orgasme fulgurant. Je lui giclai tout mon sperme dans la chatte. Elle se releva alors, et me dit :

— Je retourne voir Marc. Je lui ai promis mon cul… et j’avoue avoir très envie de me faire sodomiser par sa grosse bite. Tu as vu qu’elle est bien plus grosse que la tienne ? D’ailleurs, il me baise bien mieux que toi… Je pense que je vais le prendre comme amant régulier.

Si elle voulait m’humilier, c’était réussi. J’arrivai à articuler :

— Ce n’est pas ce qui était prévu…
— Peut-être, mais je ne pouvais pas savoir que je prendrais un tel pied. Je me rends compte qu’avec toi je n’avais jamais réellement joui… Je ne vais quand même pas m’en passer, maintenant que je sais ce que c’est ! Mais rassure-toi, je ne te cacherai rien.

Ça ne me rassurait pas du tout. Elle vint mettre sa chatte sur ma bouche et dit :

— Il ne faut pas laisser perdre tout ce bon sperme… Lèche !

Honteusement, je me remis à bander. Je léchais le foutre qui coulait de sa chatte, et sur son ordre, la nettoyais du mieux que je pus avec ma langue. Elle se retira alors que je commençais à sucer son clito.

— Tss tss, fit-elle. Ça n’est pas pour toi ! Mais tu bandes encore ? Tu aimes vraiment ça, que ta femme se fasse baiser par un autre ? Si tu veux voir la suite, ne tarde pas…

Elle sortit et je la suivis quelques minutes plus tard. Marc l’avait positionnée à quatre pattes. De la langue, il préparait son anus à la pénétration. Il enfila un doigt, puis deux, sous les gémissements de Marion. Elle lui tendit un tube de crème.

— Mets-en beaucoup, parce jamais une aussi grosse queue n’est entrée de ce côté, et je n’ai pas envie d’avoir mal, dit-elle en fixant la porte de la chambre.

Marc enduisit largement l’anus de Marion, et posa son gland sur son œillet. Il appuya doucement et le gland pénétra son petit trou. D’une poussée lente et régulière, il s’enfonça jusqu’aux couilles. Marion, la bouche ouverte, haletait sans dire un mot. Elle semblait avoir un peu mal. Marc lui dit alors :

— Ça va ? Je ne te fais pas trop mal ?
— Ça va, dit-elle les dents serrées. Tu es vraiment gros. Laisse-moi m’habituer un moment.

Marc s’immobilisa, la queue toujours au fond du cul de Marion.

— Vas-y maintenant. Montre-moi ce que c’est qu’une vraie sodomie.
— Tu vas couiner, ma salope, répondit Marc.

Il commença alors de lents va-et-vient. Puis il accéléra le rythme, le ralentit, l’accéléra de nouveau. Marion hurlait, je ne savais pas si c’était de plaisir ou de douleur. J’allais intervenir quand je l’entendis dire :

— Oh putain que c’est bon ! Viens vite, jouis en moi…

Marc eut alors un sursaut et s’agrippant aux hanches de Marion déversa son foutre au fond de son cul. Ils s’écroulèrent sur le lit. Je regagnai ma chambre, sans pouvoir trouver le sommeil. Un long moment plus tard, je les entendis parler. Je me relevai discrètement et repris mon poste d’observation.

Marion était en train de mettre Marc dehors. Malgré ses protestations, il se rhabilla et partit. Je regagnai rapidement la chambre et fit semblant de dormir.

— Viens vite me faire l’amour, mon chéri, dit Marion en entrant dans la chambre. Prends mon cul…

Je ne me le fis pas dire deux fois. J’enfilai ma bite d’une seule poussée. Elle se mit à gémir de plaisir.

— C’est quand même mieux qu’avec une trop grosse bite. Pardonne-moi pour tout ce que je t’ai dit, mon amour. Je n’en pensais pas un mot. C’est toi que j’aime, mais j’ai voulu réaliser ce fantasme quand même. Excuse-moi de t’avoir humilié. Je pensai que tu aimerais peut-être un peu de soumission. Je ne recommencerai plus, promis.
— Tu veux dire que tu n’as pas pris plus de plaisir avec Marc qu’avec moi ?
— Non, bien au contraire…
— Je veux qu’on recommence… C’était trop bien…

Sur ces paroles, j’éjaculai dans son cul, dans une extase inégalée.

Merci à Phil pour ce récit

Par Candauliste - Publié dans : Récits érotiques
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